Une heure au-dessus d’Évreux, à observer les gens aller et venir.
Mesurer le ballet incessant des voitures, voir les enfants sortir de l’école. Les nuances de lumière donnent aux toits un relief qui change à chaque minute.
Au final, on a bel et bien la sensation d’une ville qui respire malgré la plainte sourde d’une pelle mécanique qui en déchire l’une des artères principales.
Une ville que j’aime malgré ce que peut en dire le locataire de l’Hôtel de Ville qui disparaît dans la pénombre.
Veille du 7 novembre 2017, 16h24.