Petite parenthèse dans la vie de tous les jours qui fourmille et qui ne permet pas, n’autorise pas le vrai temps de pause.
Il m’a fallu apprivoiser le lieu, l’espace suspendu dans le vide. Et apprivoiser la peur du vide au travers de cet espace vitré totalement transparent. Une heure de veille…et apprivoiser aussi le temps dont la notion n’est plus que vague, très vague puisqu’il n’y a pas de repère.
Agréable pause, face à soi-même et observateur du monde
Veille du 12 février 2018, 17h09.