Je ne l’imaginais pas ainsi. D’un côté il y avait la ville et les gens qui vont et viennent, dont on cherche à imaginer qu’ils vont [mot manquant] dans ce café en face, quelle est leur vie. On est tellement accaparé par leurs allées et venues qu’on passe à côté du soleil qui se couche de l’autre côté. Quel dommage ! Ce sera mon regret ne pas avoir vu le soleil disparaître derrière les arbres alors que le spectacle en valait la peine. Surplomber la ville et assister au soleil qui dit au revoir. Et le spectacle continue avec les oiseaux qui semblent s’amuser en attendant d’aller se coucher eux aussi. Tout est passé très vite…
Veille du 17 mai 2018, 20h32.