La musique de la ville remplit l’espace dans lequel on se trouve, par vagues elle accompagne les passants, ceux qui regardent, ceux qui ne regardent pas, ceux qui savent où ils vont, et tous les autres. Au bout d’un moment, les rires et les cris des enfants disparaissent et laissent la place aux seuls bruits de la circulation, on se sent presque comme un personnage de film de Tati.

 

Veille du 20 novembre 2017, 16h08.