Ce que j’ai entendu : le vent. A chaque assaut de cette tempête, mon corps fléchissait et rendait mon équilibre précaire bien que la structure était solidement ancrée au bâtiment. Un déséquilibre imaginaire.
Ce que j’ai vu : un carton tourbillonnant, des passants cherchant quoi ou qui.
Ce que j’ai senti : l’odeur du bois et cette structure éphémère.
Ce que j’ai touché : la chaleur du bois et la froideur du verre.
Ce que j’ai pensé : combien de bonnes résolutions n’ont pas duré plus longtemps que le moment où a sonné le « Gla » de ma veille ? Faut-il attendre le 1er de quelque chose pour commencer à mieux faire ? Ne peut-on pas commencer à vivre aujourd’hui ?
Belle expérience !
Merci

Veille du 1er janvier 2018, 16h07.