Une heure m’a été nécessaire pour lâcher prise. Passée l’observation des toits, des oiseaux et des paysages alentour, c’est la chaleur grandissante du soleil, à mesure qu’il s’élevait, qui m’a pénétré et offert un moment de plénitude. Plus aucune girouette ne garnit nos toitures citadines ! C’est fou combien les oiseaux occupent ce ciel matinal ! C’est étonnant la vitesse à laquelle le soleil sort de sa cache !

Veille du 20 mai 2018, 6h08.