« Je m’attendais à ce qu’il se passe quelque chose. J’étais prête à voir, après tout, depuis la cabane. Et puis minute après minute, surtout le dimanche matin à Évreux, il ne se passe RIEN. Mais en fait il se passe tout : les pigeons qui volent en groupe, la lumière qui change, l’odeur sucrée de la cabane, les gens qui vont chercher leurs croissants, leurs baguettes, le bruit du vent, les fourmis dans les pieds, le ballet des voitures. »
Veille du 1er octobre 2017, 07h56.