Au départ j’ai eu du mal car je n’étais pas encore « concentrée » sur la veille. Après j’étais beaucoup plus concentrée et le temps est passé plus vite. Ce qui m’a le plus occupée c’était d’observer les gens. En étant en hauteur et isolée on s’intéresse d’avantage aux inconnus.

Veille du 1er mars 2018, 17h37.